Guénola Vappreau

Accompagnatrice en communication

De chargée de communication à thérapeute

Pendant 20 ans j’ai travaillé dans la communication d’entreprise. Devenir thérapeute n’a pas été pour moi une reconversion mais une suite logique. J’ai changé d’outils, de collègues et d’études de cas mais je me suis rapprochée de mes valeurs dans le respect de ce qui m’anime et me nourrit en profondeur.

Tout au long de ma carrière et de ma vie personnelle, l’autre a été au centre de mes préoccupations. J’ai été la cheville ouvrière d’un processus de valorisation d’autrui. Aujourd’hui je m’attache à mettre en valeur des personnes non pas à travers l’image qu’ils veulent donner mais grâce au développement de ce qu’ils sont vraiment.

La communication reste au cœur de ma vie car elle est la base de la relation à autrui et à soi même. Être accompagnatrice en communication, c’est donner un coup de pouce pour mieux communiquer avec autrui et améliorer ses relations à l’autre en privé ou au travail et cela passe inévitablement par une meilleure connaissance de soi.

Devenir thérapeute

Mon fonctionnement s’est enrichi de compétences et est devenu un métier. Un accompagnement en connaissance de soi et a fortiori en thérapie nécessite une éthique et un cadre. Trouver le juste équilibre entre l’écoute et le conseil s’apprend. Mon choix s’est porté sur une formation de psycho-énergéticienne. L’énergétique m’est apparue comme une cerise sur le gâteau et l’approche holistique et psycho-corporelle comme une évidence.

Notre société nous oblige à jouer des rôles dans lesquels le mental est dominant. Nous devons contrôler nos émotions et trouver notre place dans des schémas prédéfinis. Rentrer dans le moule comme on dit… Mais ce n’est pas possible car nous sommes tous des individus uniques et multiples avec nos propres pensées, nos émotions, nos histoires. Nous sommes des êtres conscients en constante évolution, gouvernés par une part inconsciente parfois très envahissante. Le nier c’est rester derrière une porte fermée et s’empêcher de trouver la clef pour sortir.

La clef se trouve dans les pensées actives mais aussi dans les mémoires, dans le corps, dans les émotions, dans les rêves. La méditation et le Reiki sont des cadeaux pour les cerveaux qui se posent  » trop  » de questions. Transmettre, partager permet d’en décupler les bénéfices.